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Effets indésirables possibles du médicament FLAGYL 500 mg.

  • Anxiété : de rares cas de palpitations et de troubles du rythme cardiaque ont été rapportés.
  • Cardiomyopathie : des cas de cardiomyopathies (accélération du rythme cardiaque et augmentation de la contractilité cardiaque) et d’insuffisance cardiaque ont été rapportés.
  • Œdème : rares cas d’œdème, particulièrement au visage, aux yeux et à la langue.
  • Somnolence : en cas de prise à jeun ou à distance des repas, la somnolence est fréquente.
  • Dyspepsie : très rarement, une dyspepsie (indigestion) peut être observée au cours d’un traitement par flagyl.

En cas de survenue de l’un des symptômes ci-dessus, consultez immédiatement votre médecin.

Avertissements et précautions

Faites attention avec FLAGYL 500 mg, comprimé pelliculé :

EnfantsEn raison de la forme et de la fréquence des effets indésirables rapportés pour ce médicament, il est déconseillé de l’utiliser chez l’enfant.

Si vous prenez ce médicament par voie orale, la posologie habituelle est de 500 mg par jour. Si votre médecin vous a informé(e) d’une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament.

Si vous avez pris plus de FLAGYL 500 mg, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû :vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien. Le résultat sera un film dont la texture sera le fruit d'une composition dynamique de plans, avec de nombreuses rotations, d'angles de vue, et de valeurs d'images différentes... Il y a des plans sur les mains, sur les yeux, sur des corps en mouvement. La bande sonore sera le fruit d'un travail sur les sons et les silences du cinéma, et la musique sera un travail sur la dynamique des formes. Nous voulions faire un film qui permette une interprétation sensible des sensations physiques et psychologiques d'un individu à la frontière de la vie et de la mort.

Je souhaitais également que le film ait des couleurs et des textures différentes, afin de créer un univers plus complexe et subtil, et de créer une certaine atmosphère. En ce qui concerne les couleurs, j'ai utilisé des couleurs très froides, qui ont pour effet de faire apparaître le sentiment de la froideur d'un personnage en présence d'un corps chaud. J'ai eu aussi envie de faire un film dont la bande sonore serait un peu plus dynamique, de créer des mouvements plus rapides et plus visuels.

Il y a aussi un rapport à l'imaginaire très présent dans ce film. L'imaginaire est très présent dans les films de science-fiction, et j'aime beaucoup la représentation de ces films en terme de sensations et de sentiments. Par exemple dans les films de Luc Besson sur Léon (2003), la musique est très présente. J'ai essayé de faire un film très sensoriel, pour qu'il soit le plus proche possible de l'expérience que nous avons de la vie et de la mort. Je me suis appuyé sur la littérature fantastique pour construire le film. Les films de Jean Rouch et de Jacques Rivette ont été une grande inspiration, ils ont été des films à visionner dans un contexte particulier, et ils avaient une vision très forte de la mort et de la vie en général.

Avec un film comme ça, on pourrait imaginer que le personnage meurt un peu comme dans un rêve, et qu'il se réveille ensuite un peu comme dans un rêve... Cela serait un peu un peu triste de ne pas pouvoir voir la fin du film, mais c'est ce que j'ai voulu faire avec ce film. C'est aussi une façon de poser un questionnement sur la vie, et de se demander ce qui fait qu'on est quelqu'un. Qu'est-ce qui fait qu'on est nous...?

Il y a aussi dans ce film un rapport à l'argent, et à ce que représente l'argent dans notre société. Nous avons tous été en contact avec l'argent, que ce soit à l'école ou au travail... L'argent est un symbole, un symbole, c'est une énergie...

Dans ce film, l'argent est aussi une énergie, il est présent dans le cinéma, dans la vie... Il est un symbole d'argent, donc il peut être intéressant de se poser la question de l'argent et de son utilisation. Il y a aussi des références à la mort, avec une image qui montre un personnage en train de mourir. Il y a aussi un rapport à la violence qui est très présent, il y a une violence très directe et très crue.

C'est un film qui parle de la mort, et c'est aussi un film qui parle de la vie... J'avais envie de faire un film où la vie est plus importante que la mort. En ce qui concerne la violence, j'ai essayé de faire un film qui ne soit pas violent : le film n'est pas sanglant, et on ne ressent pas de violence à proprement parler. Il s'agit de montrer un personnage qui traverse une frontière entre la vie et la mort, et qui est confronté à des choix difficiles. La violence est utilisée comme une métaphore de la relation entre les êtres humains, et de la manière dont ils réagissent face à des situations délicates.

Je me suis appuyé sur des films très forts, comme La vie de David Gale, ou encore The Big Lebowski. J'ai aussi essayé d'imaginer des situations qui pouvaient être dramatiques, comme par exemple le meurtre d'une personne qui a été manipulé par des médias, ou la mort d'un enfant dans une fusillade...

Je voulais faire un film qui soit un peu moins émotionnel, et qui soit plus direct, afin de montrer quelque chose de plus réel.

Dans ce film, on retrouve un thème très important : le rapport à la mort. J'ai voulu parler de la fin de vie, en parlant de la mort d'un jeune homme, qui est un personnage qui est très touchant et que l'on peut rapprocher de Greta Garbo.

Je pense que l'on ne doit pas trop tarder à parler, à aborder la fin de vie. On doit tout faire pour que chacun puisse se préparer et préparer ses proches. C'est le sujet du film, et c'est aussi la façon dont je vois la mort.

La mort est un thème qui est très présent dans le cinéma. Dans ce film, la fin de vie est très présente, on a un personnage qui est confronté à la mort, qui peut faire un choix important... C'est aussi un sujet très actuel.

Il y a dans ce film une tension entre deux groupes de personnages. On a le groupe de gens qui sont dans la vie et qui sont confrontés à la mort...

Il y a un groupe qui est confronté à la mort, et qui cherche à éviter la mort. Ce groupe est constitué de personnes âgées, qui ont peur de la mort, et qui vont essayer de la faire fuir.

Il y a aussi un groupe qui est confronté à la mort et qui est dans un état second. Il y a un groupe de gens qui sont dans la vie, et qui sont confrontés à la mort...

Il y a aussi des questions qui sont soulevées par ce film : il y a des questions philosophiques, et il y a aussi des questions de société...

A propos de la réalisatrice

Je suis née en 1962 en Afrique du Sud. J'ai fait des études de cinéma à l'université de Johannesburg, puis j'ai fait des études de réalisation à l'université de Pretoria.

Au cours de mes études universitaires, j'ai commencé à réaliser mes propres films de fiction, qui ont été très bien accueillis et ont été présentés dans de nombreux festivals internationaux.

Par la suite, j'ai fait quelques courts-métrages de fiction, qui étaient aussi bien accueillis par les festivals que par le public, et qui ont été présentés dans différents festivals.

Au cours de ma carrière, j'ai eu l'occasion de réaliser trois longs-métrages de fiction.

Ce sont des films qui n'ont pas été très bien accueillis par le public et par les critiques, mais ils ont été bien accueillis par le milieu du cinéma et par les festivals.

Je réalise également des documentaires, et j'ai eu l'occasion de réaliser plusieurs documentaires qui ont été très bien accueillis par le public. J'ai aussi eu l'occasion de réaliser plusieurs films sur des sujets qui n'ont pas vraiment de lien entre eux.

J'ai réalisé plusieurs films de fiction dont j'ai été très satisfaite. J'ai été très satisfaite de la réalisation du film Mandela : Un long chemin vers la liberté. Ce film était très bien accueilli, il a reçu un très bon accueil à de nombreux festivals. Ce film a aussi été très bien accueilli à la télévision sud-africaine.

Aujourd'hui, je réalise des documentaires pour le service public sud-africain, ce qui a aussi été très bien accueilli par le public. Je réalise également des documentaires sur des sujets qui n'ont pas vraiment de lien entre eux.

A propos de la musique du film

Il y a un grand nombre de musiques pour accompagner ce film, et pour faire écho à certaines situations.

La musique de The Big Lebowski a été composée par Trevor JonesIl s'agit d'une musique très connue. C'est une musique de film plutôt triste, qui est composée sur un rythme assez lent.